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DESCRIPTION
Les chéloïdes sont des tumeurs fibreuses bénignes (non cancéreuses) de la peau. Les personnes dont la peau est plus foncée (par ex. celles qui sont originaires de l’Afrique de l’Ouest ou de l’Inde du Sud) les observent plus fréquemment, surtout si elles ont entre 10 ans et 30 ans. Les hommes et les femmes ont la même probabilité d’être atteints de chéloïdes. Mais c’est plus les hommes qui sont touchés
Causes
Les chéloïdes se développent habituellement sur une lésion de la peau (par ex. provoquée par l’acné, des brûlures, la varicelle, des coupures, des piqûres d’insectes, des perçages, une cicatrice d’intervention chirurgicale, des tatouages, des vaccins), quoiqu’il leur arrive d’apparaître spontanément. La formation d’une chéloïde n’est pas déterminée par la gravité de la lésion – même une légère abrasion cutanée peut être à l’origine d’une chéloïde.
Les chéloïdes se forment à la suite d’une cicatrisation anormale d’une plaie. Il existe normalement un équilibre entre la production et la dégradation ducollagène, une protéine qui est un constituant des fibres de la peau. Une chéloïde se développe sur une cicatrice lorsque certaines cellules de la peau appelées fibroblastes produisent des quantités excessives de collagène. Les fibres de collagène sont également plus épaisses et enchevêtrées. Elles jouent un rôle dans l’apparence épaisse et surélevée caractéristique des cicatrices chéloïdiennes. On ignore le processus exact par lequel cette cicatrisation inhabituelle se produit. Parmi les causes possibles, on retrouve certains facteurs génétiques, la tension de la peau et la présence d’un très grand nombre de fibroblastes dans la peau.
Symptômes et Complications
Les chéloïdes sont habituellement fermes, surélevées, luisantes et lisses. Elles sont souvent roses ou rouges, ou d’une couleur beaucoup plus foncée ou plus pâle que celle de la peau adjacente. Les chéloïdes s’étendent toujours au-delà des limites de la lésion originale, parfois par plusieurs centimètres. La couleur, la forme et les dimensions des cicatrices peuvent changer avec le temps. Elles ne sont habituellement pas douloureuses, mais elles provoquent souvent des démangeaisons.
Les chéloïdes sont plus susceptibles d’apparaître sur les bras, le dos, les oreilles, la partie inférieure des jambes, le centre de la poitrine et le cou. Elles peuvent se former pendant la cicatrisation de la lésion ou prendre plusieurs mois et même des années à se développer, et il arrive que leur croissance se continue indéfiniment.
Les cicatrices chéloïdiennes occasionnent habituellement peu de complications. Selon leur apparence et leur localisation, elles peuvent provoquer une certaine détresse psychologique, car elles sont susceptibles de devenir très saillantes. Les chéloïdes peuvent nuire à certains mouvements, en particulier si elles siègent sur une articulation. Il est possible que les chéloïdes deviennent cancéreuses, mais c’est très rare.
DIAGNOSTIC
Le diagnostic de chéloïdes peut être posé par votre médecin, ou un dermatologue, qui se base d’abord sur la localisation et l’apparence de la cicatrice, puis sur sa prolifération au fil du temps. Il se peut que votre médecin vous fasse subir un examen physique et qu’il passe en revue vos antécédents médicaux et personnels pour éliminer la possibilité d’autres affections.
TRAITEMENT ET PRÉVENTION
Il n’y a pas de méthode efficace à l’heure actuelle pour traiter les chéloïdes ni pour prévenir leur formation.
On recommandait autrefois l’ablation chirurgicale des cicatrices. De 45 % à 100 % des personnes verront toutefois leur cicatrice réapparaître si l’intervention chirurgicale n’est pas combinée à une autre forme de traitement (par ex. la radiation, des pansements compressifs). De plus, il se peut que la nouvelle cicatrice soit plus grande et plus saillante que l’originale.
L’injection de stéroïdes, comme la triamcinolone, directement dans la cicatrice représente l’un des principaux éléments de base du traitement et de la prévention. Les stéroïdes aident à prévenir l’inflammation et à promouvoir la dégradation du collagène. Les cicatrices deviennent alors moins proéminentes tandis que la douleur et la sensibilité qu’elles suscitent s’atténuent.
On utilise maintenant les traitements au laser pour plusieurs types de problèmes cutanés, notamment les chéloïdes. Ce traitement est souvent combiné à des injections de stéroïdes pour obtenir les meilleurs résultats cosmétiques.
Les pansements contenant du gel de silicone sont souvent utilisés à la place des injections de stéroïdes. Toutefois, peu de données nous autorisent à penser que ces pansements préviennent efficacement une cicatrisation anormale pour les personnes qui courent un risque élevé de contracter des chéloïdes. Parmi les autres options thérapeutiques, on retrouve la radiothérapie et des médicaments comme l’interféron, le 5-fluorouracile et la bléomycine.
APPEL A LA SENSIBILISATION
Par cette collection d’images, je souhaite attirer votre connaissance sur cette pathologie singulière qui s’installe depuis ses 20 dernières années de manière insidieuse dans le milieu communautaire noire, africain, américain mais aussi au sein des populations arabes, asiatiques et certains groupes de l’Alaska.
Cette pathologie commence par un petit bouton qui naît généralement à la suite d’une tonte de cheveux à la tondeuse électrique et qui s’attaque précisément à la nuque.
Son évolution se caractérise par des éruptions de boutons et de lésions suppuratives accompagnées de fortes démangeaisons.
Les traitements classiques à base d’antibiotiques et de divers produits fongicides ne semblent pas arrêter la progression de la maladie qui dans sa forme terminale détruit entièrement le cuir chevelure par la formation de larges lésions suppuratives, d’un agglomérat de boutons, de furoncles extensifs et de chéloîdes.
La colonisation bactérienne issue de cette infection peut conduire à une septicémie avec ses complications cardio-vasculaires.
Il s’agit d’une pathologie particulièrement dégradante qui conduit souvent le sujet porteur à se confiner dans une angoisse terrible et dans une honte et solitude mortelle.
La détresse psychologique conduit le sujet porteur à porter en permanence un chapeau pour se protéger du regard de l’autre.
Le manque de consensus du corps médical au sujet de cette pathologie en fait une maladie orpheline à laquelle un nom précis n »a pas encore été arrêté.
Il a pas de nom exact selon le contexte, acné, dermatose de la nuque ou encore chéloïde ( kéloïdes).ou la bactérie mangeuse de peau